CHANTIERS DE RESTAURATION | Récents et futurs
Diagnostic architectural préalable avant toute restauration de l’église — Budget : 40 000 €.
Chutes de pierre du clocher de la collégiale, nécessitant des travaux de purge réalisés en urgence en septembre 2023.
Des moyens impressionnants ont été mis en place, avec un camion nacelle de plus de 40 mètres de hauteur, le clocher étant le deuxième plus haut du département.
Les dégradations se sont accélérées sur les parements extérieurs, le clocher, les baies, les bas-côtés, le transept et le chevet.
Un diagnostic architectural préalable est nécessaire avant toute restauration.
Restauration de la vierge d’Épeigné — Budget : 50 000 €.
Classée Monument Historique depuis le 20 octobre 1913, la Vierge d’Epeigné a besoin de s’offrir une nouvelle jeunesse !
Pour plus d'histoire sur la statue, voir ici.
La Ville de Langeais a fait réaliser en 2024 une étude picturale de cette statue auprès de Manon Joubert, habilitée « musées de France ».
Pour plus de photographies prises lors de l’étude picturale, voir ici.
Tête de l’Enfant Jésus et bras droit de la Vierge Marie sommairement recollés, fissures, repeints modernes à retirer, la statue de la Vierge d’Épeigné nécessite quelques restaurations.
Rénovation de l’orgue de Louis Bonn.
Avant de lancer la restauration de la statue de la Vierge de Bésullier, la mairie de Langeais a lancé une étude picturale de cette statue, auprès de Manon Joubert, habilitée « musées de France », suite à une première étude menée en 2009 par Fulbert Dubois.
Des chutes de pierre du clocher de la collégiale Saint Jean-Baptiste ont imposé des travaux de purge réalisés en urgence par l’entreprise Hory Chauvelin, à la demande de la Ville de Langeais.
Des moyens impressionnants ont été mis en place, avec un camion nacelle de plus de 40 mètres de hauteur ; le clocher étant le deuxième plus haut de tout le département d’Indre-et-Loire.
Quelques adhérents de l'Association Langeais Patrimoine ont procédé à l’inventaire des ornements liturgiques et à leur nettoyage, sous les conseils d’Isabelle Girard, conservatrice des antiquités et objets d’art à la Drac.
Chasubles, étoles, chapes, voiles de calice, devants d’autel : un ensemble de pièces aux riches broderies, pour la plupart en très bon état et datant du XIIème siècle, a ainsi, après un brossage minutieux et une photographie, été enveloppé dans des textiles neutres ou du papier de soie afin d’assurer une bonne préservation.
